Dans le sable ou dans la pierre...


C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
A un moment, ils se disputèrent
et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:

AUJOURD'HUI, MON MEILLEUR AMI M'A DONNE UNE GIFLE.

Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis,
dans lequel ils décidèrent de se baigner.
Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.

Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre:
AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A SAUVE LA VIE.

Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami
lui demanda:
"Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable,
et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi?"
L'autre ami répondit:
"Quand quelqu'un nous blesse,
nous devons l'écrire dans le sable,
où les vents du pardon peuvent l'effacer.
Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous,
nous devons le graver dans la pierre,
où aucun vent ne peut l'effacer ".

APPRENDS À ECRIRE TES BLESSURES DANS LE SABLE
ET A GRAVER TES JOIES DANS LA PIERRE.
PRENDS-TOI DU TEMPS POUR VIVRE!

Risquer (de Rudyard Kipling)



Rire, c'est risquer de paraître fou...
Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental...
Tendre la main, c'est risquer de s'engager......
Montrer ses sentiments, c'est risquer de s'exp...oser...
Faire connaître ses idées, ses rêves, c'est risquer d'être rejeté...
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour...
Vivre c'est risquer de mourir...
Espérer, c'est risquer de désespérer...
Essayer, c'est risquer de faillir...
Mais nous devons en prendre le risque!
Le plus grand danger dans la vie est de ne pas risquer. Celui qui ne risque rien... ne fait rien... n'a rien... n'est rien!".

Nos deux loups intérieur


Un homme âgé dit à son petit-fils, venu le voir très en colère conte un ami qui s'était montré injuste envers lui :

« Laisse-moi te raconter une histoire… Il m'arrive aussi parfois de ressentir de la haine contre ceux qui se conduisent mal et n'en éprouvent aucun regret. Mais la haine t'épuise et ne blesse pas ton ennemi. C'est comme avaler du poison et désirer que ton ennemi en meure. J'ai souvent combattu ses sentiments ».

Il continua :
« c'est comme si j'avais deux loups à l'intérieur de moi : le premier est bon et ne me fait aucun tort. Il vit en harmonie avec tout ce qui l'entoure et ne s'offense pas lorsqu'il n'y a pas lieu de s'offenser. Il combat uniquement lorsque c'est juste de le faire, et il le fait de manière juste. Mais l'autre loup, ah, il est plein de colère. La plus petite chose le précipite dans des accès de rage. Il se bat contre n'importe qui, tout le temps, sans raison. Il n'est pas capable de penser parce que sa colère et sa haine sont immenses. Il est désespérément en colère et pourtant sa colère ne change rien. Il est parfois si difficile de vivre avec ces deux loups à l'intérieur de moi parce que tous deux veulent dominer mon esprit ».

Le garçon regarda attentivement son grand-père dans les yeux et demanda :
« lequel des deux l'emporte, grand-père ».

Le grand-père sourit et répondit doucement : « celui que je nourris ».

Main dans la main.(vidéo)




Ma Li a perdu son bras droit dans un accident de voiture en 1999. Sa carrière de ballerine ne pouvait plus se développer.
Après une tentative de suicide, elle puisa de l'énergie auprès de ses parents et l'aida a changer d'attitude face à ce drame.
Après s'être reconstruite, avoir appris à écrire de l'autre main et ouvert une petite librairie, une nouvelle carrière se pointa devant elle.
En 2001 elle participa à une compétition artistique nationale pour handicapés et gagna une médaille d'or. Celle-ci lui donna à nouveau confiance en elle.

Zhai Xiaowei a perdu sa jambe gauche suite une mauvaise chute du haut d'un tracteur alors qu'il n'avait que 4 ans. Son père raconte qu'il était de nature optimiste, humoristique et joyeuse. Cet accident n'a pas changé ce trait de caractère positif.
En 2005 il s'était entrainé depuis des années pour participer aux compétitions de cyclisme aux jeux olympiques. Cette année là il rencontra Ma Li. Personne n’a cru qu’il serait possible qu’il réussisse ce nouveau challenge : apprendre à danser. Il n’avait aucune notion de danse !

Ils s’entrainèrent tous les jours de 8 heures du matin à 11 heures du soir !
Rien que le mouvement du « drop », le lâché-roulé de la ballerine que vous voyez à la minute 3 :44’ a demandé des milliers de répétitions ! Ma Li est tombé un millier de fois sur le sol.

En avril de l’année 2007, ils faisaient partie des finalistes parmi 7000 participants de la 4ième compétition nationale de la chaine de télévision chinoise CCTV. C’était la première fois que des handicapés participaient à cette compétition. Ils ont gagné la médaille d’argent avec un score de 99,17 sur 100 ! Le public les avait choisis gagnants à l’unanimité. Ils sont, depuis ce jour, des héros nationaux.

Nous pouvons tirer des forces de que nous considérons nos "handicaps" et de nos blocages.

L'enfant et le marchand de ballons



Un jour, un petit garçon noir regarda un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillèrent. Il y a des ballons de toutes les couleurs : des rouges, des bleus, des blancs, des noirs, et des jaunes ! Quel magnifique spectacle pour cet enfant émerveillé par tant de couleurs et de ballons.

Le vendeur de ballons, âgé, aperçu le garçon, yeux grands ouverts et bouche bée, hésitant qui fini par s’approcher de vendeur.

« Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut que les autres ? »

L’homme ridé et ému par une telle innocence.
Il s’accroupit et prit le garçonnet dans ses bras pour l’installer sur un muret juste derrière lui.
Il répliqua :

« Regarde »

Il ouvrit la main pour laisser échapper tous ses ballons qui s’envolèrent en grappe pour se disperser dans le ciel au gré du vent.
Et les ballons montèrent, montèrent,… tellement haut et tellement loin qu’ils ne les virent plus.

« Tu as vu ? », lui demanda le vieillard.

« Oui », acquiesça le garçonnet émerveillé.

« Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les autres ? »

« Oui Monsieur ! » répondit l’enfant dont les yeux brillaient de mille feux.

« Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes. L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur. Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a en toi qui fera toute la différence dans ta vie. »

Le garçonnet devenu adulte n’oublia jamais cette leçon de vie incroyable : il était comme les autres, il était capable des mêmes exploits que les autres !

Le menuisier


Un menuisier âgé veut quitter le monde de la construction.

Son employeur très déçu de devoir laisser partir un si bon travailleur
lui demande comme faveur personnelle de construire une dernière maison.
Il accomplit un travail médiocre et utilise des matériaux de qualité inférieure.
Quand il a terminé la maison,
son employeur lui présente la clé en disant :
« Cette maison est la tienne, c’est mon cadeau »

Le menuisier est si triste...
Si seulement il avait su qu’il construisait sa propre maison
Il aurait fait tout différemment.
Il en est de même pour nous dans notre vie.
Nous construisons notre vie malheureusement
trop souvent avec négligence et insouciance.

Un moment donné, avec étonnement,
nous réalisons que nous devons vivre dans la maison
que l’on s’est construite.
S’il nous était possible de recommencer
nous aurions fait différemment nous aussi.

Nous sommes les artisans de cette maison qu’est notre vie.
Chaque jour nous enfonçons un clou,
plaçons une planche,
érigeons un mur.
La vie est un projet de tous les instants…

C’est par notre attitude et nos choix d’aujourd’hui
que nous construisons la maison
que nous allons habiter le reste de notre vie…
Alors construisons là avec affection et sagesse!

L'âne et le puits



Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire.

Finalement,
il a décidé que l'animal était vieux
et le puits devait disparaître de toute façon,
ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tout saisi une pelle
et ont commencé à enterrer le puits.

Au début,
l'âne a réalisé ce qui se produisait
et se mit à crier terriblement.
Puis, à la stupéfaction de chacun,
il s'est tu.
Quelques pelletées plus tard,
le fermier a finalement regardé
dans le fond du puits
et a été étonné de ce qu'il a vu.

Avec chaque pelleté de terre qui tombait sur lui,
l'âne faisait quelque chose de stupéfiant.
Il se secouait pour enlever la terre
de son dos et montait dessus.
Pendant que les voisins du fermier
continuaient à pelleter sur l'animal,
il se secouait et montait dessus.

Bientôt,
chacun a été stupéfié que l'âne
soit hors du puits et se mit à trotter!

La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordure.
Le truc pour se sortir du trou
est de se secouer pour avancer.
Chacun de nos ennuis est une pierre
qui permet de progresser.

Nous pouvons sortir des puits les plus profonds
en n'arrêtant jamais,
ne jamais abandonner!

Secouez-vous et foncez!

Rappelez-vous les cinq règles simples!
Pour être heureux:

1. Libérez votre coeur de la haine.
2. Libérez votre esprit des inquétudes.
3. Vivez simplement.
4. Donnez plus.
5. Attendez moins.
À ne jamais oublier,
surtout dans les moments les plus sombres.

Auteur inconnu...

L'amour vu par les enfants...


Des professionnels ont posé la question suivante
à des enfants de 4 à 8 ans:
"Que veut dire l'amour?"

"L'amour est la première chose que l'on ressent
avant que le méchant arrive"
Charles, 5 ans.

"Quand ma grand-mère a eu de l'arthrite
et qu'elle ne pouvait plus mettre de vernis sur ses ongles d'orteils,
mon grand-père le faisait pour elle,
même après, quand il avait aussi de l'arthrite dans les mains.
Ça c'est l'amour".
Rebecca, 8 ans.

"Quand quelqu'un nous aime,
la manière de dire notre nom est différent.
On sait que notre nom est en sécurité dans leur bouche"
Alain, 4 ans.

"L'amour c'est quand la fille se met du parfum
et le garçon se met de la lotion à barbe
et qu'ils sortent ensemble pour se sentir"
Martin, 5 ans.

"L'amour c'est quand vous sortez manger
et que vous donnez à quelqu'un beaucoup de vos frites
sans demander que l'autre vous donne les siennes"
Jean, 6 ans.

"L'amour c'est quand quelqu'un vous fait du mal
et que vous êtes très fâché
mais vous ne criez pas pour ne pas les faire pleurer"
Suzanne, 5 ans.

"L'amour c'est ce qui nous fait sourire même quand on est fatigué"
Tim, 4 ans.

"L'amour c'est quand maman fait du café pour papa
et qu'elle y goûte avant de le donner à papa,
pour s'assurer que ça goûte bon"
Dan, 7 ans.

"Si vous voulez essayer d'aimer,
il faut commencer par un ami que vous détestez"
Mika, 6 ans.

"L'amour c'est quand une vielle femme
et un viel homme sont encore amis,
même quand ils se connaissent bien"
Tom, 6 ans.

"Durant mon récital de piano,
j'étais sur l'estrade et j'avais peur.
J'ai regardé tout le monde qui me regardait
et j'ai vu mon papa qui souriait et
me faisait signe de la main.
Il était le seul à faire cela et je n'avais plus peur".
Claire, 8 ans.

"L'amour c'est quand maman donne à papa
le meilleur morceau de poulet"
Hélène, 5 ans.

"L'amour c'est quand mon chien me lèche le visage,
même quand je l'ai laissé seul toute la journée"
"On ne doit pas dire "je t'aime" si cela n'est pas vrai.
Mais si cela est vrai,
on doit le dire beaucoup.
Les gens oublient.
Jessica, 8 ans.

N'ABANDONNEZ JAMAIS !(vidéo)


L'histoire nous apprend que les grands gagnants ont dû affronter de cruels obstacles avant de triompher. Ils ont gagné parce qu'ils ont refusé de se laisser abattre par leurs défaites !

Les difficultés sont des occasions de trouver quelque chose de mieux encore; ce sont les marches qui vous mènent vers de plus grandes expériences. Lorsqu'une porte se ferme, il y en a toujours une autre qui s'ouvre au même moment; il s'agit d'une loi naturelle, celle de l'équilibre.

IL NE FAUT JAMAIS, JAMAIS ABANDONNER

La folle du village(vidéo)



C'est l'histoire de Masie DeVore, aujourd'hui âgé de 87 ans.

Un jour, alors que Masie était dans la cinquantaine, elle réalisa que les jeunes du village n'avaient qu'un seul endroit pour s'amuser et s'épanouir: le terrain de balle. Elle se disait que ce n'était pas tous les jeunes qui aimaient jouer au baseball et qu'il faudrait bien avoir d'autres attractions pour les enfants.

Étant une femme très pauvre et sans moyens financiers, elle décida donc de commencer à amasser par elle-même des cannettes vides pour, un jour, réussir à avoir les fonds nécessaires pour acheter une piscine communautaire aux enfants de Neskridge.

Vous avez bien lu: amasser des cannettes vides dans l'espoir, un jour, de financer une piscine communautaire pour les enfants de Neskridge.

Soyons honnêtes chers lecteurs. Quelle aurait été votre réaction si une vieille femme de votre quartier avait commencé à amasser des cannettes vides en criant haut et fort qu'elle allait un jour financer une piscine communautaire pour les enfants du village?

Au début, vous auriez peut-être trouvé le tout honorable, mais après quelques mois et quelques années, elle serait devenue: LA FOLLE DU VILLAGE!

À tous les jours, Masie montait dans son vieux camion «pick-up» tout rouillé et tout troué, pour y faire sa tournée et ramasser les cannettes partout où elle pouvait en trouver. Aucun endroit n’était épargné: les commerçants, les restaurants, les conteneurs de vidanges industriels, les poubelles, les sites de spectacle, etc.

La folle se promenait et ramassait des cannettes!

En 2001, à l'âge de 83 ans, après 30 ans à avoir ramassé des cannettes vides, Masie DeVore avait amassé un total de 73 000 $.

Personne n'en croyait ses yeux et ses oreilles... 73 000 $ de cannettes c'est de la cannette en tabarouette! L'histoire de Masie inspira tellement de gens que d'autres personnes décidèrent de contribuer à la vision de Masie DeVore ce qui amena la somme amassée à

170 000 $.

Depuis 2001, il y a une piscine de format quasi olympique dans le petit village de 600 habitants de Neskridge au Kansas.

30 ans à ramasser des cannettes, une à la fois, une poubelle à la fois: y avez-vous songé un instant?

Ref: http://an.capacadie.com/2009/5/24/la-folle-du-village

L’allégorie de la grenouille.


Il était une fois... une course de grenouilles. L’objectif était d’arriver en haut d’une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour aller les voir et les
encourager.

La course commença ! En fait, les gens ne croyaient pas vraiment possible que les
grenouilles atteignent le sommet de la tour, et toutes les phrases que l’on entendit
furent du genre : « C’est impossible, ça ne vaut même pas la peine d’essayer,
quelle peine... elles n’y arriveront jamais ! »

Les grenouilles commencèrent à abandonner, sauf une qui continua de grimper et
les gens continuaient : « C’est impossible, abandonne, ça va être trop long... »

Et les grenouilles s’avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui
continuait à insister. À la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, rejoigna le sommet de la tour.

Les autres voulurent savoir comment elle avait fait. L’une d’entre elles s’approcha
pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l’épreuve et découvrit
qu’elle... était sourde !

Au même titre que la grenouille sourde n’écoute pas les personnes qui ont la
mauvaise habitude d’être négatives... car elles volent tes rêves !
Rappelle-toi pour toujours du pouvoir qu’ont les mots.

La carotte, l'oeuf et le café.


Une jeune femme va chez sa mère
et lui dit que sa vie est tellement difficile
qu'elle ne sait pas si elle peut continuer.
Elle veut abandonner,
elle est fatiguée de se battre tout le temps.
Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé,
un autre apparaît.

Sa mère l'amena dans la cuisine.
Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun
sur la cuisinière à feu élevé.
Bientôt, l'eau commence à bouillir.
Dans le premier chaudron, elle place des carottes,
dans le deuxième, elle met des oeufs
et dans le troisième,
elle met des grains de café moulus.
Elle les laisse bouillir sur le feu
sans dire un mot.
Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière.
Elle sort les carottes
et les place dans un bol.
Elle sort les oeufs et les place dans un bol.
Puis, elle verse le café dans une carafe.

Se tournant vers sa fille, elle dit :
"Dis-moi, que vois-tu?"
"Des carottes, des oeufs et du café",
répondit sa fille.
La femme l'amena plus près
et lui demanda de toucher les carottes.
La fille leur toucha
et nota qu'elles étaient toutes molles et souples.
La mère lui demanda alors de prendre un oeuf
et de le briser.
La fille enleva la coquille d'un œuf
et observa qu'il était cuit dur.
Finalement, la mère lui demande de goûter au café.
La fille sourit comme elle goûtait son arôme riche.

La fille demanda alors,
"Qu'est-ce que ça veut dire maman?"
Sa mère lui expliqua que chaque objet
avait fait face à la même eau bouillante,
mais que chacun avait réagit différemment.
La carotte y est entrée forte, dure et solide.
Mais après être passée dans l'eau bouillante,
elle a ramolli et est devenue faible.
L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide.
Mais après être passé dans l'eau bouillante,
son intérieur est devenu dur.
Quant aux grains de café, eux,
ont réagi de façon unique.
Après avoir été dans l'eau bouillante,
ils ont changé l'eau.

"Lequel es-tu?", demanda la mère à sa fille.
"Lorsque l'adversité frappe à ta porte,
comment réponds-tu?
Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café?"
Penses-y!
Suis-je la carotte qui semble forte,
mais qui dans la douleur et l'adversité
devient molle et perd sa force?

Suis-je un œuf qui commence
avec un cœur malléable,
mais change avec les problèmes?
Ai-je un esprit fluide
qui devient dur et inflexible dans la douleur?
Est-ce que ma coquille ne change pas,
mais mon intérieur devient encore plus dur?

Ou suis-je comme un grain de café?
Le grain change l'eau,
il change la source de sa douleur.
Lorsque l'eau devient chaude,
il relâche sa fragrance et sa saveur.
Si tu es comme un grain de café,
tu deviens meilleure
et change la situation autour de toi
lorsque les choses en sont à leur pire.

Comment faites-vous face à l'adversité?
Comme une carotte, un œuf ou un grain de café?

Auteur inconnu

Importance de croire en soi(vidéo)



Ce que je trouve spécial dans ce vidéo est la détermination que Jamie a de vouloir faire l'audition, imaginé le courage que cela a dut prendre pour se placé devant les juges,entendre les résultats des participants avant lui,surmontez sa timidité,ses doutes,quels belle leçon!.