La vie


Parfois on se demande...qu'est-ce que j'ai fait pour mériter cela ?
Pourquoi la Vie laisse-t-elle ces choses m'arriver ?

Voici l'explication...

Une fille dit à sa mère que tout tourne mal pour elle. Elle a probablement échoué son examen de maths...son petit ami vient de la laisser.....pour sa meilleure amie.

Dans ces périodes tristes, une bonne mère connait la chose à faire pour encourager sa fille...
« Je fais un gâteau délicieux. »

À ce moment, la mère prend sa fille dans ses bras et la guide vers la cuisine, tandis que sa fille essaie de sourire. Tandis que la mère préparait les ustensiles et les ingrédients, sa fille s'est assise au comptoir.
Sa mère demande : « Ma chérie, aimerais-tu un morceau de gâteau ? »
Sa fille répond : « Sûr, maman, tu sais combien j'aime le gâteau. »

“D'accord...” dit la mère, “Bois un peu de cette huile de cuisson.” Choquée, la jeune fille répond : “Quoi ?!!! Pas question !!! ”
“Que dirais-tu alors de quelques œufs crus ?” À cela la fille répond: “Est-ce que tu plaisantes ?”
“Que dirais-tu d'un peu de farine?” “Non maman, je vais être malade !”

La mère répond : “Toutes ces choses ne sont pas cuites et goûtent mauvais, mais si tu les mets toutes ensemble......Ils font un gâteau délicieux !”

La Vie se passe un peu de la même manière. Quand nous nous demandons pourquoi il nous faut passer par ces périodes difficiles, nous ne réalisons pas ce que ces événements peuvent nous apporter. Nous n'avons pas besoin d'arranger les ingrédients crus. Seulement de croire en la Vie... et entretenir la certitude que quelque chose de fantastique va survenir !

La Vie nous aime tellement...Elle nous envoie des fleurs chaque printemps...Elle fait se lever le soleil tous les matins...Et chaque fois que tu as besoin de parler...La Vie t'envoie quelqu'un pour écouter ! L'amour peut vivre n'importe ou dans l'univers...Mais il choisit de vivre dans ton cœur !

Ton succès est entre tes mains


Depuis longtemps un petit garçon cherchait le moyen d'embarrasser son professeur, lequel avait réponse à tout.

Un jour il eut une idée:...  « Je vais attraper un papillon, le tenir caché dans mes mains, et je dirai au professeur : « Monsieur,j'ai un papillon dans mes mains: est-il mort ou est-il vivant ? » S'il dit que le papillon est mort, je laisserai le papillon s'envoler et mon professeur se sera trompé. S'il dit que le papillon est en vie, je l'étoufferait et le montrerai mort à mon professeur. Il se seras encore trompé.»

Le petit garçon réussit à attraper un papillon. Il se présente devant son professeur.  « Monsieur, j'ai ici un papillon. Est-il mort ou vivant ? » Le professeur réfléchit et fit cette réponse: »Mon petit ami, la vie de ce papillon est entre tes mains. »

Nous aussi, nous essayons d'embarrasser la vie en lui disant: « Moi, je suis fait comme ça , je ne me changerai pas. Quand on est fait pour un petit pain on est pas fait pour un gros pain... quand une chose doit arriver, elle arrive... si javais meilleur santé! Si j'étais plus jeune, ou plus vieux! si j'étais un homme! une femme! Si j'étais plus instruit! si j'habitais une grande ville! si j'étaie protégé !... je n'ai pas ce qu'il faut pour réussir... »

Et la vie nous répond : « Ton succès est entre tes mains. »

En effet, nous avons notre liberté. Nos pensées et nos actions dépendent surtout de nous. Qu'attendons-nous pour nous servir de notre intelligence et de toutes nos facultés?

Écrit par J.G. Leboeuf

PRENDRE LE TEMPS DE DIRE...


Un jour, un enseignant demanda
à ses étudiants d'écrire les noms des
autres étudiants dans la
classe sur deux feuilles de papier et de
laisser un espace entre chaque nom.
Puis, il leur dit de penser
à la chose la plus agréable qu'ils
pourraient dire de chacun de
leurs camarades et de le noter.
Ça a pris le reste du cours pour finir leur tâche,
et chaque étudiant quitta la salle en
remettant leurs feuilles à l'enseignant.

Ce samedi-là, l'enseignant nota
le nom de chaque étudiant sur une
feuille individuelle pour chacun,
et inscrivit ce que tout le monde
avait dit de chacun.

Le lundi, elle a donné à
chaque étudiant sa liste respective.
Avant longtemps, la classe entière souriait.
"Vraiment?" qu'elle entendit chuchoter. "
Je ne savais pas que j'avais autant
d'importance pour qui que ce soit!"
et:
"Je ne savais pas que
les autres m'aimaient autant."
fut la plupart des commentaires.

Personne n'a plus jamais parlé de
ces papiers dans la classe à nouveau.
Elle n'a jamais su s'ils en
avaient discutés après la classe
ou avec leurs parents,
mais peu importe.
L'exercice était arrivé à son but.
Les étudiants étaient contents l'un de l'autre.
Ce groupe d'étudiants termina finalement l'année.

Plusieurs années plus tard,
un des étudiants fut tué au Viêt-nam
et l'enseignant assista
aux funérailles de cet étudiant spécial.
Elle n'avait jamais vu un
homme dans un cercueil militaire avant.
Il avait l'air si élégant, si mature.
L'église fut remplie par ses amis.
Un à un, ceux qui l'avaient aimé sont allés pour une
dernière fois voir le cercueil.
L'enseignant fut le dernier à y aller.
Comme il se tenait là,
un des soldats qui était porteur
du cercueil est venu vers lui.
Il lui demanda :
"Étiez-vous l'enseignant de maths de Marc?".
Il hocha la tête en signe de "oui."
Alors il lui dit:
"Marc m'a beaucoup parlé de vous."

Après les funérailles,
la plupart des anciens camarades
de classe de Marc
sont allés déjeuner ensemble.
Les parents de Marc étaient là ,
attendant de parler avec son
enseignant de toute évidence.
"Nous voulons vous montrer quelque chose,"
dit son père en sortant
un portefeuille de sa poche.
"Ils ont trouvé ça sur Marc quand il a été tué.
Nous avons pensé que vous pourriez le reconnaître."
En ouvrant le portefeuille,
il a soigneusement enlevé deux morceaux de
papier qui avaient évidemment été collés,
pliés et repliés plusieurs fois.
L'enseignant a su sans même regarder que les papiers
étaient ceux où il avait énuméré
toutes les bonnes choses
que chacun des camarades de Marc avait dit de lui.
"Merci beaucoup pour avoir fait cela,"
dit la mère de Marc.
"Comme vous pouvez le voir,
Marc l'a gardé précieusement."

Tous les anciens camarades de classe de Marc
ont commencé à se rassembler autour de l'enseignant.
Charlie (l'enseignant) sourit
d'une façon plutôt gênée et dit:
"J'ai toujours ma liste dans le tiroir
du haut de mon bureau à la maison."
La femme de Chuck (un ancien étudiant) dit :
"Chuck m'a demandé de mettre
le sien dans notre album de mariage."
"J'ai le mien aussi," dit Marilyne.
"Il est dans mon journal intime."
Alors Vicky, une autre camarade de classe,
prit son livre de poche,
en sortit son fragile morceau
de papier contenant la liste
et le montra au groupe. Puis elle dit :
"Je porte ceci avec moi tout le temps"
et sans battre de l'oeil, elle poursuivit:
"Je pense que nous avons tous
gardé notre liste."

C'est à ce moment que
l'enseignant s'est finalement assis
et s'est mis à pleurer.
Il a pleuré pour Marc et pour tous ses amis
qui ne le reverraient plus jamais.
La quantité de gens dans la société est si grande
que nous oublions que cette vie
se terminera un jour.
Et nous ne savons pas quand le jour viendra.
Alors, s'il vous plaît, dites aux gens que vous aimez
et dont vous vous souciez,
qu'ils sont spéciaux et importants.
Dites-leur avant qu'il ne soit trop tard...

ET UNE FAÇON DE LE FAIRE EST

d'envoyer ce message en mentionnant à l'ami(e)
en question une qualité que vous
appréciez particulièrement chez lui ou chez elle...
Si vous ne l'envoyez pas,
vous aurez de nouveau manquer une merveilleuse
occasion de faire quelque chose de beau et d'agréable.
Si vous avez reçu ceci,
c'est parce que quelqu'un se soucie
de vous et ça signifie
qu'il y a probablement au moins
quelqu'un pour qui vous comptez.

Si vous êtes "trop" occupé
pour prendre quelques minutes
maintenant pour envoyer ce message,
serait-ce la TOUTE première fois que vous
ne faites pas cette petite chose
qui ferait une différence dans
vos relations interpersonnelles?

Plus nombreux seront ceux à qui vous enverrez ceci,
plus vous rejoindrez de gens dont vous vous souciez.
Souvenez-vous que vous récoltez ce
que vous semez,
ce que vous mettez dans les vies
des autres vous revient toujours.

Auteur inconnu

LA PLANCHE À VOILE!



Cet été je me demandais pourquoi j'ai tellement de plaisir à faire de la planche à voile.

Le vent était irrégulier, les vagues hautes, je filais à toute allure... et j'adorais cela.

Et, brusquement, j'ai eu l'idée de faire la comparaison avec notre vie.

1. Si on n'apprend pas, on n'a pas de plaisir. À moins que vous n'aimiez tomber sans cesse, ce qui est passionnant, c'est de faire des progrès et de rendre les choses difficiles, faciles.

2. Imaginons que le destin soit le vent. Vous ne pouvez pas aller contre votre destin, contre le sens des évènements. Il vous faut UTILISER le destin pour avancer. Même si le vent vous semble contraire, en utilisant sa force, vous pouvez aller là où vous voulez.

3. Les échecs (plouf! dans l'eau) sont des occasions de remonter sur la planche et de recommencer en évitant de refaire la même erreur.

4. Plus vous êtes tendu et plus vous vous fatiguez. Plus vous êtes confiant et relaxé, plus c'est facile. Je peux faire des heures et des heures de planche sans me fatiguer. C'est
pareil dans la vie. Le stress ne sert à rien d'autre qu'à vous détruire, si vous ne le canalisez pas positivement.

5. C'est en se sentant UN avec l'eau, le soleil, le vent, l'Univers tout entier que l'on a les plus exaltantes sensations.

6. Quand on fait une erreur, il vaut mieux la reconnaître et lâcher la voile que s'accrocher et boire le bouillon. Dans la vie, c'est pareil.

7. S'il y a du soleil et du vent, il ne faut pas se dire : "Tiens j'irai faire de la planche demain" ou "Tout à l'heure". Il faut saisir l'occasion et en profiter. Demain n'existe pas, et le vent peut tomber à tout instant.

Acceptons les cadeaux qui nous sont faits au moment où il le sont. La vie est magnifique, pourvu qu'on observe le sens du vent -- quand il y en a --, qu'on en profite et qu'on ne cherche pas égoïstement à aller contre lui.

Le caméléon...



Lorsque j'ai découvert le sud du Portugal, on m'a dit que je risquais de surprendre, sur les pierres chaudes ou les murettes ensoleillées, un drôle d'animal aux yeux ronds et à la peau indécise. Un caméléon, véritable petit bijou préhistorique...

Ce que je ne savais pas, c'est que les caméléons parlaient. Voici ce que me dit l'un d'entre eux, sage parmi les sages, occupé à se faire dorer l'écaille sur un rocher.

Humain, tu veux vivre heureux ? Alors, observe-moi :

- Quand je prends une direction, je ne détourne jamais la tête.

Comme moi, tu dois avoir un objectif précis dans la vie, et rien ne doit pouvoir te faire revenir sur les choix qui te semblent importants.

- Quand je veux regarder autour de moi, c'est mon œil qui tourne, pas ma tête.

Comme moi, tu dois t'informer où que tu te trouves, examiner sans te précipiter, et comprendre que tu n'es pas le seul de ton espèce sur Terre.

- Quand j'arrive dans un endroit, je prends la couleur des lieux.

Comme moi, sache t'adapter aux hommes que tu rencontres, même à ceux qui te paraissent ridicules. C'est une question de tolérance et de savoir-vivre.

- Quand je lève le pied, je m'assure que là où je vais le poser, c'est le bon endroit.

Comme moi, sois prudent dans la marche, tu éviteras bien des problèmes.

Quand je me déplace, je prends soin d'accrocher ma queue à quelque chose de solide pour assurer ma route. Comme moi, progresse lentement et sois certain que tu parviendras au but.

La fable dit vrai : «Si vous voulez vivre en harmonie avec le monde qui vous entoure, les animaux, la nature, mais surtout les hommes qui peuplent cette terre, il vous faut adopter un comportement prudent, aimant et tolérant.»

Rien de grand ne se fait dans la précipitation.

Faites ce que prescrit mon ami le Caméléon et vous serez surpris du résultat !


«Il y a deux façons de gérer les difficultés : les modifier ou s'adapter à elles.»
Phyllis Bottome

L'histoire des 2 cailloux !




Il y avait autrefois, dans un petit village, un fermier sans le sou
qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid.

Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur,
ce dernier proposa un marché.

Il dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il pouvait marier sa fille.

Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition.

Alors le vieux prêteur ratoureux suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition.

Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d’argent vide,
et que la fille aurait à piger, à l’aveuglette, un des deux cailloux du sac.

1) Si elle pige le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père est effacée
2) Si elle pige le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est également annulée
3) Si elle refuse de piger un caillou, son père est jeté en prison

Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier,
et le sol était jonché de cailloux.

Tout en continuant de parler,
le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux.

Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l’œil vif,
remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac.
Mais elle ne dit rien.

Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de piger dans le sac.

Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là.
Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille de faire?

Si on analyse bien, il y a 3 possibilités :

1) La fille devrait refuser de piger un caillou
2) La fille devrait sortir les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux a triché
3) La fille devrait piger le caillou noir, et se sacrifier en mariant le vieux pour épargner l’emprisonnement à son père

Prenez un moment pour réfléchir à cette situation.

Alors, qu’auriez-vous fait?

Bien voici ce que la jeune fille fit :

Elle pigea dans le sac et en sortit un caillou qu’elle échappa aussitôt par terre,
gauchement, sans qu’on n'ait pu le voir,
et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.

Ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille.

Mais qu’importe, si je sors du sac le caillou qui reste,
on verra bien lequel j’avais pigé en premier !

Puisque le caillou restant était noir,
le premier caillou pigé ne pouvait qu’être blanc.

Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté,
la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.

La morale de cette histoire :

Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes.
C’est juste qu’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.

L'étoile de mer


Un matin, un petit garçon se promenait sur la plage déserte avec son grand-père.
Ils entretenaient tous deux une conversation très enrichissante. Le petit garçon était particulièrement
curieux de nature et posait plein de questions à son grand-père, doté d'une très grande sagesse.

À toute les deux minutes, le grand-père se penchait, ramassait quelque chose par terre qu'il rejetait aussitôt dans l'océan. Intrigué, après la dixième fois, le petit garçon s'est arrêté de marcher et a demandé à son grand-père :
« Que fais-tu, grand-papa ? »

- Je rejette les étoiles de mer dans l'océan.

- Pourquoi fais-tu cela, grand-papa ?

- Vois-tu, mon petit fils, c'est la marée basse, et toutes ces étoiles de mer ont échoué sur la plage.
Si je ne les rejette pas à la mer, elles vont mourir parce que dans quelques heures elles sécheront sous les rayons chauds du soleil.

- Je comprends, a répliqué le petit garçon, « mais grand-papa, il doit y avoir des milliers d'étoiles
de mer sur cette plage, tu ne peux pas toutes les sauver. Il y en a tout simplement trop.
Et de plus, grand-papa, le même phénomène se produit probablement à l'instant même partout
sur des milliers de plages à travers le monde. Ne vois-tu pas, grand-papa, que tu ne peux rien y changer ? »

Le grand-père a souri et s'est penché, il a ramassé une autre étoile de mer.
En la jetant à la mer, il a répondu ceci à son petit fils :
« Tu as peut-être raison, mon garçon, mais ça change tout pour celle-là ! »



À l'instar du grand-père de cette histoire, même si nous ne pouvons pas changer le monde, nous pouvons certainement apporter quelque chose à notre prochain...

LA TRAPPE



Une souris observait à travers la fente d'un mur le fermier et sa femme ouvrir un colis. Quelle est donc la nourriture que ce colis cache? se demanda la souris. Quel ne fut pas un choc que de découvrir qu'il s'agissait d'une trappe à souris!

Elle se hâte donc à la grange pour proclamer le sévère avertissement : Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!

Le poulet caquetta, se gratta le dos et levant le cou il répondit:
"Monsieur Souris, je comprend que cela est un problème pour vous mais cela n'a aucune conséquence pour moi. Cela ne me dérange pas."

La Souris se tourna donc vers le cochon et lui dit :
Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!

Le cochon se montra sympathique mais répondit :
"Je suis très peiné Monsieur Souris mais je ne peux rien faire si ce n'est de prier mais soyez assuré de mes prières."

La Souris se tourna alors vers la vache et lui lança son cri d'alarme : Il y a une trappe à souris dans la maison! Il y a une trappe à souris dans la maison!

Et la vache de répondre:
" Eh bien Monsieur Souris, je suis peiné pour vous mais cela ne me fait pas un pli sur le ventre!"

C'est ainsi que Monsieur Souris s'en retourna à la maison, la tête basse et découragé d'avoir à affronter seul la trappe à souris du fermier. Dans la nuit qui suivit, un bruit étrange fut entendu dans la maison, un bruit qui ressemblait à celui d'une trappe à souris qui avait saisi sa proie. La femme du fermier se précipita pour voir ce qui avait été attrapé mais dans la noirceur, elle ne vit pas que la queue d'un serpent vénéneux avait été happé par la trappe à souris. Affolé, le serpent mordit la femme du fermier qui s'empressa de la conduire à
l'hôpital, mais hélas, elle revint à la maison avec une forte fièvre. Et tout le monde sait bien qu'il faut soigner une forte fièvre avec une soupe au poulet et le fermier sortit donc sa machette pour apporter le principal ingrédient pour la soupe.

Mais la maladie de la femme du fermier empirait à ce point que tous les amis et les voisins vinrent la veiller 24 heures sur 24 à son chevet. Pour les nourrir, le fermier dut faire boucherie avec le cochon. Mais la femme du fermier ne prit pas de mieux et elle finit par
mourir. C'est ainsi que beaucoup de gens vinrent à ses funérailles et le fermier dût abattre la vache pour servir assez de viande à tout ce monde.
Monsieur Souris surveillait tout ce va-et-vient de par la fente du mur en ressentant une grande tristesse.


MORALE :
Ainsi donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu'une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne vous concerne pas, souvenez-vous que lorsqu'un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger. Nous sommes tous impliqués dans ce voyage qu'on appelle la vie. Ayons l'oeil ouvert sur nos proches et faisons un effort pour s'encourager mutuellement.

Source inconnue

Le poids du stress



Un jour un conférencier, expliquant la gestion du stress à son auditoire,
lève un verre d'eau et demande :
"Combien pèse ce verre d'eau?"

Les réponses vont de 20 g jusqu'à 500 g.
Le conférencier réplique :
"Le poids absolu de ce verre n'a aucune importance.
Tout dépend de la durée que vous essayez de le tenir.
Si je le tiens une minute, ce n'est pas un problème.
Si je le tiens pendant une heure, j'aurai de la douleur dans mon bras droit.
Si je le tiens toute la journée, vous allez devoir appeler une ambulance.
Dans tous les cas c'est le même poids,
mais plus longtemps je le tiens, plus il devient lourd. »

Il continue :
« Et c'est le même cas avec la gestion du stress.
Si on porte un fardeau tout le temps, tôt ou tard,
comme le fardeau devient de plus en plus lourd,
on ne sera plus capable de continuer.
Comme pour le verre d'eau, vous devez le déposer pour
un moment et vous reposer avant de le reprendre.

Quand on est frais et dispos, on peut continuer avec son fardeau.
Donc, avant de retourner à la maison le soir,
déposez votre fardeau de travail.
Ne l'apportez pas à la maison. Vous pourrez le reprendre demain.
Et si vous partez de la maison, ne l'apportez pas avec vous,
vous n'avez pas besoin de ce boulet toute la journée...
Il sera là au retour et vous aurez l'énergie pour y faire face.
Quel que soit le fardeau que vous portiez maintenant,
laissez-le pour un moment si vous le pouvez.
Relaxez.
Reprenez le plus tard quand vous serez reposés.
Il vous semblera plus léger.
La vie est courte. Tâchez d'en profiter!

Le conférencier a partagé aussi quelques façons de gérer les fardeaux de la vie :

- Acceptez que certains jours vous êtes le pigeon, et certains jours vous êtes la statue.

- Conduisez prudemment. Il n'y a pas que les voitures qui peuvent être rappelées par leur manufacturier.

- Si vous ne pouvez pas être gentil, ayez au moins la délicatesse d'être vague.

- Si vous passez 20$ à quelqu'un et que vous ne le voyez plus jamais, ça en valait probablement la peine.

- Tout le monde s'en fout que vous dansiez mal. Levez-vous et dansez!

- Les anniversaires sont bons pour vous. Plus vous en avez, plus vous vivez vieux.

- Vous n'êtes peut-être qu'une personne dans le monde, mais vous pouvez aussi être le monde pour une personne.

- Certaines erreurs sont trop amusantes pour n'être faites qu'une seule fois.

- Passez une très belle journée et sachez que quelqu'un a pensé à vous aujourd'hui...
Je l'ai fait...

Oprah émue aux larmes par Bernard Lachance (Vidéo)


L'impossible s'est produit : à force de rêver, Bernard Lachance s'est retrouvé sur le plateau d'Oprah Winfrey à Chicago. Dans cette émission diffusée mardi à 16h sur le réseau NBC, l'artiste de 31 ans a été accueilli comme une véritable star, sous les cris et les applaudissements de l'auditoire, et par une Oprah en larmes.

Lachance a clôturé l'émission avec sa chanson, The Impossible Dream (La quête), à moitié en anglais, à moitié en français. On a senti sa voix étranglée par l'émotion durant son interprétation. Le chanteur était accompagné par 35 musiciens.

«She came!» («Elle est venue!»), s'est écrié Bernard Lachance en apprenant aux siens par téléphone que Gayle King, la collaboratrice et meilleure amie d'Oprah Winfrey, était venue lui annoncer sur le trottoir qu'il irait sur le plateau de la célèbre animatrice. Le jeune homme tremblait et pleurait à chaudes larmes.

«Chaque jour, je regardais partout pour voir si Oprah Winfrey allait venir, et Gayle est apparue», a-t-il confié, ajoutant que la veille de sa venue, il songeait à abandonner ce rêve.

Très complice, l'animatrice semblait très impressionnée par l'audace du jeune homme, alors que le chanteur s'est montré à la fois assuré et excessivement fébrile durant l'entrevue. Environ 15 minutes de l'émission lui ont été consacrées. On a entre autres rappelé son histoire, racontée comme un conte de fées, son enfance à Montmagny, où Lachance a grandi avec ses parents. On l'a revu et réentendu le jour de ses six ans, se chantant «Bonne fête». Puis, alors qu'il avait 23 ans et qu'il a loué le Capitole pour 3000 $, vendant ses billets un à un.

Douze ans plus tard, le voici qui en fait autant au Chicago Theatre pour 18 000 $US. «C'est tout ce que j'avais dans mon compte... mais en argent canadien!» a-t-il blagué.

On a aussi vu ses parents, Claude et Andrée, en direct de Québec sur Skype, qui ont pu ainsi assister à sa prestation, enregistrée jeudi dernier.

Voix étranglée

Les yeux pleins de larmes, Lachance a clôturé l'émission avec sa chanson, The Impossible Dream (La quête), à moitié en anglais, à moitié en français. On a senti sa voix étranglée par l'émotion durant son interprétation.

Le chanteur était accompagné par 35 musiciens, un traitement royal qu'il n'aurait sûrement pas reçu à La fosse aux lionnes ni à 2 filles le matin!

REF: Richard Therrien Le Soleil
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/200905/05/01-853629-oprah-emue-aux-larmes-par-bernard-lachance.php

L'Anneau d'Or


Un écolier vint trouver son professeur pour lui parler d'un problème.
- Je viens vous voir, car je n'ai pas la force d'affronter mon problème.
Ils disent que je ne sers à rien,que je ne fais rien de bien, que je suis bête et idiot.

Comment puis-je devenir meilleur ? Que puis-je faire pour qu'on m'apprécie?

Le professeur, sans lui jeter un regard, lui dit :
Je suis vraiment désolé mon garçon. Pour l'instant, je dois résoudre mon propre problème. Ensuite, peut-être...

Faisant une pause, il dit :
- Si tu m'aides à résoudre mon problème rapidement, je pourrai peut-être ensuite t'aider à résoudre le tien.
- Bien sûr, professeur, dit le garçon.
- Mais il se sentit aussitôt dévalorisé.

Le professeur ôta un anneau de son petit doigt et lui dit :
- Prends ton cheval et va sur le marché. Tu devras vendre cet anneau pour moi car je dois rembourser une dette. Evidemment, tu devras en obtenir le maximum, mais ne le vends surtout pas en dessous d'une pièce d'or.
Va et reviens avec l'argent le plus rapidement possible.

Le garçon prit l'anneau et s'en alla.
Quand il arriva sur le marché, il commença à le proposer aux marchands.
Ils paraissaient très intéressés et attendaient de savoir combien le jeune garçon en demandait.

Dès qu'il parlait de la pièce d'or, certains éclataient de rire, d'autres partaient sans même le regarder.

Seul un vieillard fut assez aimable pour lui expliquer qu'une pièce d'or avait beaucoup trop de valeur pour acheter une bague.

Voulant aider le jeune garçon, on lui proposa une pièce de bronze, puis une pièce d'argent.

Mais le garçon suivait les instructions de son professeur de ne rien accepter en dessous d'une pièce d'or et déclina toutes les offres.

Après avoir proposé le bijou à tous les passants du marché, et abattu par son échec cuisant, il remonta sur son cheval et rentra.

Le jeune garçon aurait voulu avoir une pièce d'or pour acheter lui-même cet anneau, libérant ainsi son professeur afin qu'il puisse ainsi lui venir en aide à son tour avec ses conseils.

Il arriva vers le professeur et lui dit :
Professeur, je suis désolé, mais je n'ai pas réussi à obtenir ce que vous m'aviez demandé.

J'aurais pu récupérer 2 ou 3 pièces d'argent, mais je crois que l'on ne peut pas tromper quelqu'un sur la valeur de cette bague.

C'est très important ce que tu me dis, mon garçon, rétorqua le professeur en souriant.
Tout d'abord, nous devons connaître la vraie valeur de cet anneau. Remonte à cheval et va chez le joailler.

Qui mieux que lui connaitra sa vraie valeur?

Mais peu importe ce qu'il t'en offrira, ne le vends pas. Reviens ici avec mon anneau.

Le garçon alla trouver le joailler et lui tendit l'anneau pour qu'il l'examine.
Le joailler le scruta à la loupe, le pesa et lui dit:
- Dis à ton professeur, que s'il veut le vendre, aujourd'hui, je ne peux lui donner que 58 pièces d'or.
- 58 pièces d'or!! S'exclama le jeune garçon.
- Oui, répondit le joailler, et je crois que dans quelque temps, je pourrai lui en offrir 70. Mais si la vente est urgente...

Le garçon courut tout excité chez le professeur pour lui raconter ce qui s'était passé.
- Assieds toi, dis le professeur, et après avoir écouté l'enfant, il lui dit :
- Tu es comme cet anneau d'or, un joyau de grande valeur et unique. Seulement, sa valeur ne peut être reconnue que par un spécialiste.
- Tu pensais que n'importe qui pouvait découvrir sa vraie valeur?

Tout en parlant, il remit son anneau à son doigt.
Nous sommes tous comme ce bijou. D'une très grande valeur et unique et nous allons sur tous les marchés de la vie en espérant que des personnes inexpérimentées reconnaissent notre valeur.

L’action précède la motivation



Des formations en développement personnel, j’en ai fait pas mal. J’ai marché sur le feu, cassé une planche de bois avec mes mains, plié en deux une tige d’acier avec ma gorge. Ces expériences auxquelles je participais servaient à me montrer que j’étais capable d’en faire plus que ce que je croyais possible. Me montrais que je pouvais être celui qui met des barrières sur la route d’une vie plus productive, plus heureuse, plus abondante. Je pouvais trouver la motivation pour marcher sur le feu, mais trois jours plus tard j’étais incapable de trouver la motivation pour ranger mon bureau ou réparer le robinet… Gonflé à bloc un jour, me disant que ma vie venait de changer, pour ensuite perdre ma motivation trois jours plus tard. Pourquoi?

J’ai longtemps cherché comment être et rester motivé tout le temps. Mais surtout, j’attendais d’être motivé avant de passer à l’action. Si vous aussi vous attendez d’être motivé avant de passer à l’action, laissez-moi vous partager la phrase qui a eu le plus d’impact sur moi dans les dernières années : l’action précède la motivation. Il ne faut pas attendre d’être motivé avant de passer à l’action, il faut passer à l’action en premier pour ensuite commencer à sentir de la motivation, de la confiance, du bien-être.

Il faut se mouiller, plonger, commencer, même si on n’en a pas envie parce que rapidement le sentiment désagréable (ça ne me tente pas) est remplacé par le désir et la motivation. Essayez-le par vous même, vous verrez comme la motivation vient vite une fois que l’action est mise en marche. De cette motivation surgit une confiance et vous ressentirez plus d’énergie et de certitude.

Même si la motivation venant de l’extérieur de nous a sa place, le fait de passer à l’action nous amène à être motivés de l’intérieur et à augmenter sa confiance en soi.

Dr. Hani Karout, Chiropraticien D.C.

La gestion du temps....



Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration
Publique(ENAP) fut engagé pour donner une
formation sur la planification efficace de son temps
à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.

Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de formation.
Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour passer sa matière.
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner),
le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit:
"Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui les séparait de ses élèves,
le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon
(pot de verre de plus de 4 litres)
qu'il posa directement en face de lui.
Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros
comme des balles de tennis et les plaça délicatement,
un par un, dans le gros pot.
Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus,
il leva lentement les yeux vers ses élèves leur demanda:
"Est-ce que ce pot est plein ?"
Tous répondirent :"Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?"
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier.
Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux
puis brassa légèrement le pot.
Les morceaux de graviers s'infiltrèrent entre les cailloux...
jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et demanda:
"Est-ce que ce pot est plein ?".
Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
L'un d'eux répondit "probablement pas !"
"Bien!"répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois,
sortit de sous la table une chaudière de sable.
Avec attention, il versa le sable dans le pot.
Le sable alla remplir les espaces entre les gros gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda :
"Est-ce que ce pot est plein ?".
Cette fois, sans hésiter et en cœur, les brillants élèves répondirent :
"Non!".
Bien!" répondit le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves,
il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord.
Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
"Quelle grande vérité nous démontre cette expérience?"
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songea au sujet de ce cours, répondit :
"Cela démontre que même lorsqu'on croit que notre agenda est complètement rempli,
si on veut le veut vraiment,on peut y ajouter plus de rendez-vous,plus de choses à faire".
- Non répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela".
- La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante:
"Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot,
on ne pourra jamais les faire entre tous, ensuite".
Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors:
"Quels sont les gros cailloux dans votre vie?
Votre santé, votre famille, vos ami(e)s, réaliser vos rêves, faire ce que vous aimez, apprendre, ... et moi !!
"Ce qui faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX
en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie.
Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable),
on remplira sa vie de peccadilles et on aura plus suffisamment
de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie".
Alors n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX DANS MA VIE ? ...
Ensuite, mettez-les en premier"

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle...

Auteur inconnu

L'enfant et le pianiste


C'est l'histoire d'un jeune homme qui apprenait à jouer du piano. Souhaitant l'encourager, sa mère a acheté des billets pour le concert du grand pianiste polonais Paderewski. Le soir du concert est arrivé et la mère et le fils ont pris place sur le devant de la salle. Tandis que sa mère discutait avec des amis, le jeune homme s'est éclipsé sans rien dire.

Le concert allait bientôt commencer et un seul projecteur était allumé dans la salle obscure de concert pour éclairer le grand piano qui se trouvait sur la scène. Ce n'est qu'alors que le public a remarqué le jeune garçon assis sur le tabouret, qui jouait innocemment une comptine.

Avant que sa mère, le souffle coupé, ne puisse se déplacer, Paderewski est arrivé sur scène et s'est approché à grand pas du piano. Il a murmuré à l'enfant « Ne t'arrête pas. Continue à jouer ». Ensuite, le maître a tendu la main gauche vers le clavier et à commencer à jouer la basse. Bientôt son bras droit a atteint le côté droit, encerclant l'enfant, pour ajouter un contre chant soutenu. Le vieux pianiste et le jeune débutant ont tenu le public en haleine.

Dans la vie, quel que soit notre manque de poli, d'expérience, il devrait avoir en vous cette voix qui murmure sans cesse à vos oreilles : « N'arrête pas. Continue à jouer. ». Si pour certains, cette voix vient de Dieu, d'amis ou d'ailleurs, considérez la comme positive car elle vous pousse en avant et vous édifie. « Continuez à jouer et laissez-vous guider par cette voix»

Un garçon et son chiot


Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte, sur laquelle on pouvait lire: "Chiots à vendre". Comme les affiches ont la faculté d'attirer les enfants, bientôt un petit garçon fut séduit par l'annonce et demanda: "À quel prix vendez-vous ces chiots" ? Le propriétaire du magasin répondit : "Autour de 30$ - 50 $ ".
Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie. "J'ai 2.37$. Est-ce que je peux les regarder " ? Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne, nommée Lady, courut hors du chenil vers l'allée de sa boutique, suivie par cinq petits chiot

Mais un des chiots restait loin derrière. Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux resté à l'arrière. Il demanda: "De quoi souffre ce petit chien, monsieur?" L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche, le laissant boiter pour le restant de sa vie. Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit : "C'est le chiot que je veux acheter " ! L'homme répondit : "Mais non ! Tu ne peux pas acheter ce petit chien voyons. Si tu le veux vraiment, je te le donne " ! Le petit garçon vint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit : "Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2.37$ aujourd'hui et 50 cents chaque mois, jusqu'à ce que j'ai fini de le payer". L'homme répondit : "Tu ne veux pas acheter ce chiot pour vrai. Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Tu devrais aimer d'autres chiots "! Alors le petit garçon se pencha vers le bas, il roula la manche de son pantalon et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal. Il regarde l'homme et dit : "Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne" L'homme mordit sa lèvre inférieure... des larmes lui piquaient les yeux. Il sourit au garçon et lui dit : "Mon garçon, j'espère et prie que chacun de ces chiots trouve un propriétaire tel que toi ".


DANS LA VIE, PEU IMPORTE QUI VOUS ÊTES, EN AUTANT QUE QUELQU'UN VOUS APPRÉCIE POUR CE QUE VOUS ÊTES, VOUS ACCEPTE ET VOUS AIME INCONDITIONNELLEMENT... UN VÉRITABLE AMI EST CELUI QUI SE RAPPROCHE DE VOUS MÊME QUAND LE RESTE DU MONDE S'ÉLOIGNE...

Conte Africain


Un enfant demande à son père :
- Dis Papa, quel est le secret pour être heureux ?

Alors le père demande à son fils de le suivre; ils sortirent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied. Et les gens du village de dire :
- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d'aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Le lendemain ils sortirent de nouveau. Le père ayant installé son fils sur l'âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors :
- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Le jour suivant, ils s'installent tous les deux sur l'âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant :
- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison

Le jour suivant, ils partirent en portant eux mêmes leurs affaires. L'âne trotinant derrière eux. Cette fois, les gens du village y trouvèrent encore à redire :
- Voilà qu'ils portent eux - mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
- Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire. Fais ce qu'il te plait et tu seras heureux.

La leçon du papillon


Un jour, apparut un petit trou dans un coccon. Un homme, qui passait à tout hasard, s'arrêta de longues heures à observer le papillon, qui s'efforçait de sortir par ce petit trou. Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit.

On dirait que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait, et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.
Alors l'homme décida d'aider le papillon : il prit un canif et ouvrit le coccon. Le papillon sortit aussitôt.

Mais son corps était maigre et engourdi. Ses ailes étaient peu développées et bougaient à peine. L'homme continua à observer, pensant que, d'un moment à l'autre, les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le corps du papillon pour qu'il prenne son envol.

Il n'en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terrre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du coccon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.

Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.

Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler !

J'ai demandé la force...Et la vie m'a donné les difficultés pour me rendre fort.
J'ai demandé la sagesse...Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.
J'ai demandé la prospérité...Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J'ai demandé de pouvoir voler...Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.
J'ai demandé l'amour...Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes.
J'ai demandé des faveurs...Et la vie m'a donné des potentialités.

Je n'ai rien reçu de ce que j'ai demandé...Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin

Vis la vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter.

L'écho de la Vie


Un père et son fils se promenaient en montagne. Soudain, le fils tombe, se fait mal et crie: “AAAhhhhhhhhhhh!!!”
A sa grande surprise, il entend une voix qui répète, dans la montagne : “AAAhhhhhhhhhhh!!!”

Curieux, il demande: “Qui es-tu?”
Il reçoit pour toute réponse: “Qui es-tu?”
Agacé par cette réponse, il crie: “Peureux!”
Et entend: “Peureux!”
Alors il regarde son père et demande:
“Qu'est-ce qui se passe, papa?”

Le père sourit et répond:

“Mon fils, écoute bien, maintenant.”
Et il crie vers la montagne: “Je t'admire!”
La voix répond: “Je t'admire!”
Il crie encore: “Tu es un champion!”
La voix répond: “Tu es un champion!”
Le garçon est surpris mais ne comprends toujours pas.

Alors le père explique :

“Les gens le nomment ECHO, mais c'est en fait la VIE. Cela te renvoie tout ce que tu dis ou fais. Notre vie est simplement le reflet de nos actions. Si tu veux plus d'amour dans le monde, commence par en avoir plus dans ton coeur. Si tu veux que ton équipe soit plus performante, commence par être plus performant. Cela marche pour tout dans notre vie. La vie te rendra tout ce que tu lui donneras.”

Votre vie n'est pas une coincidence : c'est le reflet de ce que vous pensez et faites !

Quels est votre valeurs?



Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant
bien haut un billet de $20.

Il demande aux gens :
"Qui aimerait avoir ce billet ?"
Les mains commencent à se lever, alors il dit :

"Je vais donner ce billet de $20 à l'un d'entre vous mais
avant laissez-moi faire quelque chose avec."
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
"Est-ce que vous voulez toujours ce billet ?"

Les mains continuent à se lever.
"Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela."
Il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus,
l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.

Ensuite il demande :

"Qui veut encore avoir ce billet ?"

Évidemment, les mains continuent de se lever !
"Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce
que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur
n'a pas changé, il vaut toujours $20."

"Alors pensez à vous, à votre vie. Plusieurs fois dans votre vie
vous serez froissé, rejeté, souillé par les gens ou par les événements.

Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en
réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment!

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou
pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs
car votre valeur intérieur est toujours intacte."