Une histoire inspirante à propos d’échec et de réussite (Ming Yue)


Xiao Sheng joue du tambour dans une école de musique. A chaque cérémonie de lever des couleurs, tous les enseignants et élèves écoutaient toujours très absorbés son solo. Un jour, il a joué plusieurs fausses notes et s'en est trouvé vraiment découragé. Il envisageait même de quitter l'école. Je lui ai raconté l'histoire suivante:

Il était une fois un père qui était très frustré à cause de son fils qui ne semblait pas être très viril malgré ses seize ans. Le père alla voir un Maître Zen et lui demanda d'aider son fils à devenir un homme, un vrai.

Le maître lui dit :"Je peux vous aider; Par contre, votre fils devra vous quitter pour venir chez moi pendant trois mois. Pendant tout ce temps là, vous ne serez pas autorisé à le voir. Je vous assure entière satisfaction après ces trois mois."

Comme promis, le père ne revint donc que trois mois plus tard. Le maître organisa un Kumité (combat de karaté) pour que le père puisse voir les résultats de l'entraînement de son fils.

Quand démarra le combat, le père découvrit que l'adversaire de son fils était en fait un entraîneur.

L'entraîneur s'était bien sûr assuré d'être parfaitement bien préparé pour gagner avant même qu'il ne commence à attaquer. De l'autre côté, le fils tombait aussitôt après qu'il eut été attaqué, sans aucune résistance. Cependant, le garçon n'abandonnait pas et se relevait immédiatement après sa chute. Cela continua ainsi pas moins d'une vingtaine de fois. Son père fut embarrassé et eût de la peine pour lui, mais n'osa rien dire.

Le garçon perdit lamentablement à la fin le combat. Le maître demanda au père : "Ne pensez vous pas que votre fils a montré de la virilité?"

"J'ai eu honte de lui! Après trois mois d'entraînements, quel genre de résultat est-ce?! Il était si faible et tombait aussitôt qu'il était attaqué. Je ne pense pas du tout qu'il soit viril." Le père était très déçu.

Le maître dit au père: "Je suis désolé que vous ne regardiez l'échec et la réussite que sous leurs formes superficielles. N'avez-vous pas remarqué que votre fils avait du courage et de la bravoure pour se relever après toutes ses chutes? C'est une réussite si on se relève autant de fois qu'on chute, c'est là la qualité d'un homme, un vrai."

Le père eu une soudaine compréhension, remercia de tout coeur le maître et ramena ainsi son fils chez lui.

Après avoir écouté cette histoire, Xiao Sheng y a réfléchi et m'a dit qu'il continuerait à travailler dur et qu'il ferait toutes ses gammes pour obtenir de nouvelles appréciations des autres.


Compréhension à partir de cette histoire:

Nous ne devrions pas juste nous focaliser sur les résultats immédiats quand nous faisons quelque chose. Les expériences acquises et les efforts fournis sont les plus précieux. Si la vie de quelqu'un se déroule toujours sans encombre, il ou elle ne goûtera jamais à la douce joie que procure le succès final après plusieurs tentatives, sans avoir baissé les bras. La vertu vraiment importante est de nous souvenir de nos expériences et des leçons tirées de nos échecs et avec bravoure d'avancer sur la route du succès en l'anticipant à nouveau.

Clearharmony

Une question d'attitude!


Jerry est gérant dans la restauration à Philadelphie.
Il est toujours de bonne humeur et a toujours quelque
chose de positif à dire.
Quand on lui demande comment il va,
il répond toujours:
"Si j'allais mieux que ça,
nous serions deux: mon jumeau et moi!"

Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses
sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d'un
restaurant à un autre pour la seule raison
qu'ils admirent son attitude.
Il est un motivateur naturel.

Quand un employé file un mauvais coton,
Jerry est toujours là pour lui faire voir
le bon côté des choses.
Curieux, je suis allé voir Jerry un jour
pour lui demander:
"Je ne comprends pas.
Il n'est pas possible d'être toujours positif comme ça,
partout, tout le temps.
Comment fais-tu?"

Et Jerry de répondre:
"Tous les matins à mon réveil,
je me dis que, aujourd'hui,
ou bien je choisis d' être de bonne humeur,
ou bien je choisis d'être de mauvaise humeur.
Je choisis toujours d'être de bonne humeur.
Quand il arrive un incident déplorable,
ou bien je choisis d'en être la victime,
ou bien je choisis d'en tirer un leçon.
Quand quelqu'un vient se plaindre à moi,
ou bien je choisis d'entendre sa plainte,
ou bien j'essaie de lui faire voir le bon côté de la chose."

"Mais ce n'est pas toujours si facile", lui dis-je.

Et Jerry d'enchaîner:
"La vie, c'est une question de choix.
On choisit sa façon de réagir aux situations.
On choisit de quelle façon
les autres peuvent nous influencer ou non.
On choisit d'être de bonne humeur ou de mauvaise humeur.
On choisit de vivre sa vie de la manière
qui nous convient."

Plusieurs années plus tard,
j'entends dire que Jerry a fait incidemment
ce qu'on ne doit jamais faire dans la restauration:
il a laissé déverrouillée la porte arrière
du restaurant un bon matin et il
s'est fait surprendre par trois voleurs armés.

En essayant d'ouvrir le coffre fort,
sa main tremblante de nervosité,
il n'arrivait pas à faire la combinaison numérique.
Un des intrus a paniqué et a tiré.
Heureusement pour Jerry,
les choses n'ont pas traîné
et il a vite été transporté à l'hôpital.
Après dix-huit heures de chirurgie
et des semaines de soins intensifs,
Jerry a reçu son congé de l'hôpital
avec des débris de la balle
qu'on n'avait pas réussi à lui retirer du corps.

J'ai revu Jerry six mois après l'incident
et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça.
"Si j'allais mieux que ça, dit-il,
nous serions deux: mon jumeau et moi.
Tu veux voir les cicatrices?"
Je n'ai pas voulu voir la blessure
mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé
par la tête au moment du vol.
Et Jerry de dire:
"La première chose qui m'est venue à l'idée
est que j'aurais dû fermer à clé
la porte arrière du restaurant.

Et puis, étendu sur le plancher après
m'être fait tiré une balle,
je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix:
ou bien de vivre ou bien de mourir.
Et j'ai choisi de vivre."

"T'as pas eu peur?"
lui dis-je.
Et lui de répondre:
"Les ambulanciers ont été bien corrects.
Ils n'ont pas cessé de me dire que tout allait bien.
Mais en entrant dans le bloc opératoire de l'hôpital,
j'ai vu l'expression faciale des médecins et
des infirmières et, là, j'ai eu peur.
J'ai vu dans leurs yeux que j'étais un homme mort
et j'ai su que je devais agir vite."
"Et alors, qu'as-tu fait?"
"Eh bien, mon ami, il y avait une infirmière
qui me bombardait de questions:
elle voulait savoir si j'étais allergique à quelque chose.
J'ai dit oui, et les médecins et les infirmières
se sont arrêtés pour entendre ce que j'allais leur dire.
J'ai pris une profonde respiration et je leur ai dit
que j'étais allergique aux balles de fusil!
Quand ils ont eu cessé de rire,
je leur ai dit que j'avais fait le choix de vivre
et qu'ils feraient mieux de m'opérer comme
si j'étais un homme vivant plutôt qu'un homme mort!"

Jerry a survécu grâce à l'expertise des médecins
mais aussi grâce à son attitude étonnante!

J'ai appris de lui que, à tous les jours,
nous devons faire des choix:
ou bien de profiter pleinement de la vie
ou bien de s'y emmerder tant qu'on veut.
La seule chose qui nous appartient
et que personne ne peut contrôler,
ni nous enlever, ce sont nos attitudes.

Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives,
tout le reste est de la petite bière.

AUTEUR INCONNU

Le sourire



Le sourire ne coute rien, mais il a une grande valeur.

Le sourire enrichit ceux qui le reçoivent
sans appauvrir ceux qui le donnent.

Le sourire rend les familles heureuses,
les affaires, prospères, et les amitiés, durables.

Le sourire nous repose quand nous sommes fatigués
et nous encourage quand nous sommes déprimés.

Le sourire nous réconforte quand nous sommes
triste et nous aide à combattre nos soucis.

Le sourire ne peut être acheté ni volé,
et n'a de valeur que s'il est donné.

Si vous rencontrez quelqu'un qui ne vous donne pas le
sourire que vous méritez, soyez généreux, offrez-lui le vôtre.

Car personne n'a plus besoin d'un sourire que celui qui
ne peut en accorder un aux autres...

L'histoire de la simplicité de l'enfant



Un homme tomba dans un trou et se fit très mal.

Un Cartésien se pencha et lui dit : « Vous n'êtes pas rationnel, vous auriez dû voir ce trou ».

Un spiritualiste le vit et dit : « Vous avez dû commettre quelque péché ».

Un scientifique calcula la profondeur du trou.

Un journaliste l'interviewa sur ses douleurs.

Un yogi lui dit : « Ce trou est seulement dans ta tête, comme ta douleur ».

Un médecin lui lança 2 comprimés d'aspirine.

Une infirmière s'assit sur le bord et pleura avec lui.

Un thérapeute l'incita à trouver les raisons pour lesquelles ses parents le préparèrent à tomber dans le trou.

Une pratiquante de la pensée positive l'exhorta : « Quand on veut, on peut ! »

Un optimiste lui dit : « Vous avez de la chance, vous auriez pu vous casser une jambe ».

Un pessimiste ajouta : « Et ça risque d'empirer ».

Puis un enfant passa, et lui tendit la main...

Confiance en soi


Manquer de confiance en soi,
c'est être un peu maladroit.
C'est ouvrir grande la porte,
à des profiteurs de toute sorte.

Pour éviter les requins,
et surtout les tenir loin,
faut se faire confiance,
voilà toute la différence.

Regarde toi dans le miroir,
en toi ose croire.
Petit à petit t'avanceras,
et ne te décourages pas.

Tu peux briller,
tout comme le soleil,
à toi d'avancer,
c'est le début de ton réveil.

Choisis de prendre ta place,
vois ton image dans la glace,
tu es bon tu es capable,
et tout à fait respectable.

Cesses de donner aux gens,
du pouvoir sur toi,
de ta vie tu es le roi,
toi aussi tu es un gagnant.

ecrit par Ramadi

QUE PEUT-ON ACHETER AVEC $20,00



Un papa arrive de sa journée de travail écœuré et fatigué. C'est alors qu'il rencontre son petit garçon de 5 ans, l'attendant à la porte.
« Papa,puis-je te poser une question? » demande le petit.
« Certainement,que puis-je faire pour toi? » questionne le père.
« Papa, combien d'argent gagne-tu de l'heure? »

Le papa répliqua furieusement: « pourquoi veux-tu savoir cela? Ça ne te concerne pas. »

Le petit garçon supplia: « J'ai besoin de savoir, papa. S'il te plaît, dis-moi combien tu gagne de l'heure. »

« Si tiens tant à le savoir, je gagne $20,00 l'heure. »

« Oh! » répliqua le petit en baissant la tête. Il demande alors: « Puis-je emprunter $10,00, s'il te plaît? »

Le papa furieux, « Si tu tiens seulement à savoir combien je gagne d'argent pour que je te donne afin d'acheter des jouets inutile ou des gâteries, et bien jeune homme, marche tout droit à ta chambre. Cela te permettra de réfléchir à la raison pour laquelle tu es si égoïste! Je travaille comme un fou durant de longues heures. Je n'ai pas de temps à perdre pour des niaiseries! »

La tête basse, le petit garçon alla dans sa chambre et ferma la porte. Le papa, tout en réfléchissant à la demande de son fils, devenait de plus en plus furieux. Comment osait-il demander de l'argent gagné si durement.

Quelque temps après, en y pensant de nouveau, le papa se dit qu'il avait peut-être été
trop sévère avec son fils. Peut-être que celui-ci avait réellement besoin d'argent pour s'acheter quelque chose d'important, après tout, ce n'était pas souvent qu'il en demandait.
Il se rendit donc à la chambre de son fils: « Dors-tu petit? »

« Non papa; je suis encore éveillé. »

Le père lui dit alors:  «  J'ai peut-être été trop sévère avec toi. J'ai eu une très longue journée et j'étais en train de me défouler sur toi. Voici $10,00. »

Le fils, les yeux brillant de joie, s'assit dans son lit et s'exclama: «  Oh!,Merci papa. »
Alors, il mit sa main sous son oreiller et en sorti plusieurs billets froissés.

Voyant que son fils avait déjà de l'argent, le père redevint furieux. Le petit garçon compta son argent. « Pourquoi voulais-tu d'autre argent? Tu en avais déjà. »

Le fils répondit: « Je n'en avais pas assez. Maintenant ca y est. »
Il regarda son père droit dans les yeux et dit:

«  Papa, j'ai $20 maintenant...Est-ce que je peut acheter une heure de ton TEMPS? »

Partage cette histoire avec ceux que tu aimes... encore mieux, partage $20,00 de ton temps avec des personnes aimées. N'oublie pas de garder du temps pour ceux qui te sont précieux!!

AUTEUR INCONNU

Leçon de persévérance


As-tu déjà observé l'attitude des oiseaux face à l'adversité?
Pendant des jours et des jours, ils font leur nid, recueillant
des matériaux parfois ramené de très loin.
Lorsqu'ils ont terminé et sont prêts à déposer les œufs, les
intempéries ou l'œuvre de l'être humain ou d'un

quelconque animal détruit et envoie au sol ce qu'ils ont réalisé
avec tant d'effort.
Que fait l'oiseau ? Il paralyse et abandonne la tâche ?
En aucune façon… Il recommence encore et encore jusqu'à ce
que les premiers œufs apparaissent dans le nid.
Parfois, très souvent, avant que naissent les oisillons, un
animal, un enfant ou une tempête détruit une fois de plus le
nid mais cette fois avec son précieux contenu.
Cela fait mal de recommencer depuis zéro, même ainsi,
l'oiseau ne se tait jamais, ni ne recule, il continue de chanter
et de construire, construisant et chantant.
As-tu parfois le sentiment que ta vie, ton travail, ta famille ne
sont pas ce que tu avais rêvé ?

As-tu parfois envie de dire “assez”, l'effort n'en vaut pas la
peine. C'est trop pour moi !

Es-tu fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte
quotidienne, de la confiance trahie, des buts atteints quand tu
étais sur le point d'y arriver ?
La vie frappe ainsi parfois, mais ne te rends jamais. Dis une
prière, mets ton espoir en avant et fonce. Ne te
préoccupe pas si dans la bataille, tu reçois une blessure, il faut
s'y attendre. Réunis les morceaux de ton
espérance, reconstruis-la et fonce de nouveau.
Peu importe ce qui se passe, ne faiblis pas, va de l'avant.
La vie est un défi constant mais cela vaut la peine de
l'accepter et surtout n'arrête jamais de chanter.
Auteur inconnu

Les quatres bougies


Les quatre bougies brûlaient lentement.
L'ambiance était tellement silencieuse
qu'on pouvait entendre leur conversation.

La première dit :
'' Je suis la Paix !
Cependant personne
n'arrive à me maintenir allumée.
Je crois que je vais m'éteindre.''
Sa flamme diminua rapidement,
et elle s'éteignit complètement.

La deuxième dit :
'' Je suis la Foi !
Dorénavant je ne suis plus indispensable,
cela n'a pas de sens
que je reste allumée plus longtemps.''
Quand elle eut fini de parler,
une brise souffla sur elle et l'éteignit.

Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
'' Je suis l'Amour !
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les personnes me laissent de côté et
ne comprennent pas mon importance.
Elles oublient même d'aimer ceux
qui sont proches d'eux.''
Et, sans plus attendre, elle s'éteignit.

Soudain... un enfant entre
et voit les trois bougies éteintes.
'' Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Vous deviez être allumées jusqu'à la fin''
En disant cela, l'enfant commença à pleurer.

Alors, la quatrième bougie parla :
'' N'aie pas peur, tant que j'ai ma flamme
nous pourrons allumer les autres bougies,
je suis l'Espérance ! ''

Avec des yeux brillants,
l'enfant prit la bougie de l'Espérance...
et alluma les autres.

Que l'Espérance ne s'éteigne jamais
en nos cœurs et que chacun de nous
puisse être l'outil nécessaire pour maintenir
l'Espérance, la Foi, la Paix et l'Amour !


Auteur inconnu

Que ferais-tu dans cette situation?


Une compagnie qui recrutait du personnel,
a posé la question suivante à presque 200 candidats
(autant des hommes que des femmes)
et leur a demandé une réponse écrite :

De retour à la maison, dans ta voiture sport,
en plein milieu d'un terrible tempête,
tu passes devant un arrêt de bus et tu y vois 3 personnes:
a) Une madame âgée qui est gravement malade
et qui mourra si elle n'arrive pas à l'hôpital à temps.
b) Un médecin, bon ami à toi, qui t'as sauvé
la vie il y a quelques années.
c) L'être le plus beau que tu n'aies jamais eu
la chance de rencontrer,
la personne à qui tu as toujours rêvé
et avec laquelle tu serais disposé à passer le reste de ta vie.
Comme ton auto est du genre sport,
tu peux seulement amener un passager.
Qu'est-ce que tu ferais?
Ceci est un problème de personnalité.....

Réfléchis comme il faut :
a) La vie de la madame âgée est en jeu
b) Le médecin qui t'a sauvé la vie,
tu pourrais toujours le rétribuer d'une manière ou d'une autre.
c) Mais, comment ferais-tu pour ne pas perdre cet amour parfait?

Des 200 candidats, seulement un a obtenu le travail,
et sa réponse tu la trouveras plus bas,
mais avant réfléchis à ce que tu ferais,
si tu étais dans cette situation et ensuite,
compare-la avec la réponse
de l'unique personne qui a été engagée par l'entreprise.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Voici la réponse de la seule personne
qui a fait un excellent choix :
Réponse:
" Je donne les clés de mon auto au médecin
pour qu'il amène la dame âgée à l'hôpital
et je reste pour attendre l'autobus avec la personne de mes rêves".

APPRENDS À VOIR LES PROBLÈMES
ET LES SITUATIONS QUI SE PRÉSENTENT
D'UN AUTRE POINT DE VUE,

AINSI, COMMENCE PAR FAIRE LE NÉCESSAIRE,
ENSUITE,FAIS TON POSSIBLE ET DE CETTE FAÇON,
TU FERAS L'IMPOSSIBLE !!!

Les jarres d'eau


Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres,
suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois
qui épousait la forme de ses épaules.

L'une des jarres avait un éclat,
et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement
toute son eau de source jusqu'à la maison du maître,
l'autre jarre perdait presque la moitié
de sa précieuse cargaison en cours de route.

Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour,
le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau
à chacun de ses voyages.
Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle,
puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.

Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection
et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait
à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.

Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait
comme un échec permanent,
la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau,
au moment où celui-ci la remplissait à la source.

"Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau.
"De quoi as-tu honte ?"
"Je n'ai réussi qu'à porter la moitié
de ma cargaison d'eau à notre maître,
pendant ces 2 ans,
à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau.
Par ma faute, tu fais tous ces efforts,
et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau.
Tu n'obtiens pas la reconnaissance
complète de tes efforts",
lui dit la jarre abîmée.

Le porteur d'eau fut touché par cette confession,
et, plein de compassion, répondit:
"Pendant que nous retournons à la maison du maître,
je veux que tu regardes les fleurs magnifiques
qu'il y a au bord du chemin".

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin,
au long de la colline,
la vieille jarre vit de magnifiques fleurs
baignées de soleil sur les bords du chemin,
et cela lui mit du baume au coeur.
Mais à la fin du parcours,
elle se sentait toujours aussi mal
parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.

Le porteur d'eau dit à la jarre
"T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté,
et presque aucune du côté de la jarre parfaite?
C'est parce que j'ai toujours su
que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti.
J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin,
et, chaque jour,
tu les as arrosées tout au long du chemin.
Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs
qui ont décoré la table du maître.
Sans toi, jamais je n'aurais pu
trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses."

Morale de l'histoire:
Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts.
Nous sommes tous des jarres abîmées.
Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse,
d'autres ne brillent pas par leur intelligence,
d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres,
certains sont chauves,
d'autres sont diminués physiquement,
mais ce sont les éclats,
les défauts en nous
qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont,
et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux.
Il y a beaucoup de positif partout.
Il y a beaucoup de bon en vous!

Ceux qui sont flexibles ont la chance
de ne pas pouvoir être déformés.
Souvenez-vous d'apprécier tous les gens
si différents qui peuplent votre vie !
Sans eux, la vie serait bien triste.

Auteur inconnu

La motivation, la clé pour réussir !

Se lever le matin pour aller travailler,

Remplir sa déclaration d'impôt,

Pratiquer une activité physique quand il pleut,

Faire le ménage,

Voici autant d'occasions pour vérifier notre degré de motivation à effectuer ce qui nous rebute et pour prendre conscience de ce qui fait que malgré tout, nous passons à l'acte. Il est donc essentiel de découvrir cette clé qui nous ouvre la porte de la réussite.

Pour mieux trouver cette clé, commençons par une métaphore :

La Motivation, en chemin…


"Le voyage de mille lieux commence avec le premier pas hors du seuil"

Ainsi débute le marcheur qui part pour une longue randonnée. Pas après pas, il avance sur le chemin, mû par une force secrète et puissante. Nous avançons semblables à ce marcheur sur le chemin de la vie, avec comme lui des moments d'exaltation où tout semble s'enchaîner comme à merveille, portés par une vague intérieure qui nous ferait escalader les plus hautes montagnes et parfois avec des moments d'inaction, de découragement, sans énergie pour continuer à avancer. Nous manquons tout simplement de motivation pour faire face aux épreuves, aux ennuis ou à la lassitude de la vie quotidienne.

Qu'est-ce qui stimule le marcheur à poursuivre son effort malgré la fatigue, malgré le dénivelé important à effectuer, malgré la longueur du périple ?

1. Il se fixe des étapes pour se reposer tout au long de son chemin.

2. Il trouve de multiples "moteurs" qui encouragent sa marche : la beauté du paysage, le sourire ou les éclats de rire partagés entre amis, la harde de chamois devant lui, la chaleur dans ses muscles, le murmure du ruisseau, tous ces petits moments de la vie tout simples qui en font tout son charme et qu'il est important de réhabiliter, prendre plaisir à l'instant présent.

3. Il se remémore les raisons profondes qui l'ont poussées à entamer ce chemin, le plaisir d'atteindre le sommet, le désir de se surpasser, l'amitié, la passion de la montagne, toutes ces raisons reliées à ce qui est le plus important pour lui.

4. Et quand la pente devient trop raide ou que la fatigue devient intense, il pense alors à la joie du sommet à venir, la joie de la tâche accomplie.

5. De même, il s'encourage avec sa voix intérieure en se disant de petites phrases telles que "Allez, c'est bon, je vais y arriver !", "Tiens bon, tu vas réussir !", sur un ton dynamique, motivant et bienveillant.

Ainsi la motivation vient quand nous savons pourquoi nous accomplissons une tâche, une activité. A partir du moment où nous en connaissons les raisons, nous pouvons choisir alors de la faire ou de ne pas la faire. Nous sommes ainsi le créateur, l'acteur de notre propre vie et non un pion déplacé en fonction des circonstances de la vie.

Règles de vie de Bill Gates


Voici quelques conseils prodigués récemment par Bill Gates
lors d'une allocution prononcée dans une école secondaire
et qui aborde 11 leçons que les élèves n'ont pas apprises
et n'apprendront pas à l'école.

Règle 1:
La vie n'est pas juste; il faudra vous y faire.

Règle 2:
Le monde se fiche de votre estime personnelle.
Le monde s'attendra à ce que vous réalisiez
quelque chose AVANT que vous ne vous
sentiez bien dans votre peau.

Règle 3:
Vous ne toucherez pas 40 000 dollars par année immédiatement
en sortant de l'école secondaire.
Vous ne serez pas vice-président d'entreprise
avec un téléphone dans votre voiture
avant d'avoir gagné et mérité les deux.

Règle 4:
Si vous pensez que votre professeur est sévère,
attendez d'avoir un patron.

Règle 5:
Être plongeur dans un restaurant n'a rien d'humiliant.
Vos grands-parents utilisaient un terme différent
pour décrire ce genre de boulot,
ils appelaient cela "s'ouvrir des portes".

Règle 6:
Si vous vous retrouvez dans le pétrin,
ce n'est pas la faute de vos parents,
alors ne vous plaignez pas de votre sort
et tirez-en plutôt les leçons nécessaires.

Règle 7:
Avant votre naissance,
vos parents n'étaient pas aussi ennuyeux qu'ils le sont aujourd'hui.
Ils sont devenus comme cela
à force de payer vos factures,
de laver vos sous-vêtements
et de vous écouter raconter à quel point vous êtes cool.
Alors, avant de penser sauver la forêt équatoriale
des parasites de la génération de vos parents,
essayez de mettre un peu d'ordre dans votre propre chambre.

Règle 8:
Votre école a peut-être cessé de distinguer
les gagnants des perdants, mais pas la vie.
Dans certaines écoles, ils ont éliminé la note de passage
et ils vous donneront autant de chances
que vous voulez avant de trouver la bonne réponse.
Cela n'a absolument RIEN À VOIR avec la vraie vie.

Règle 9:
La vie n'est pas divisée en semestres.
Vous n'êtes pas en vacances tout l'été
et très peu d'employeurs sont intéressés
à vous aider à vous retrouver.
Faites cela durant vos temps libres.

Règle 10:
La télévision N'EST PAS représentative de la vraie vie.
Dans la vie, en réalité,
les gens doivent quitter le restaurant et retourner travailler.

Règle 11:
Soyez gentils avec les "nerds".
Il y a de bonnes chances que vous finissiez
par travailler pour l'un d'entre eux.

Même si vous détestez Bill Gates,
vous devez tout de même avouer
qu'il a un certain sens de la réalité.

Jonathan Livingstone Le Goeland (vidéo)


L’histoire de Jonathan Livingston le goéland qui voulait voler pour voler et pas voler pour manger comme ses congénères. Trop différent il se fera exclure par le clan mais reviendra plus fort plein d’amour pour ces goélands ignorants.

Le jeune aigle


Un jour,un chasseur indien trouva un oeuf d'aigle qu'il deposa dans un nid de poule.des semaines après,des poussins virent le jour,l'aiglon aussi.Toute sa vie l'aiglon se comporta comme une poule sans jamais savoir qu'il était un aigle.

Après quelques années,alors qu'il se baladait dans la cour,le jeune aigle aperçu un oiseau beau et puissant qui volait très haut dans le ciel.emu,il demanda à sa voisine:"quel est cet oiseau qui vole si haut?""c'est le roi des oiseau" lui répondit sa voisine."ne pense meme pas deux fois,tu ne seras jamais un aigle",continua la voisine.Et l'aiglon n'y pensa pas deux fois.Il mourut sans jamais savoir qu'il était un aigle

combien d'entres nous sont ils comme cet aiglon,plein de talents mais n'osent jamais se découvrir à cause des préjugés? combien d'entre nous se créent ils des limitations mentales à cause de la peur de l'echec ou du qu'en dira-t-on?cessez de vous sous-estimer et ne laissez personne le faire.vous etes doté d'une force incroyable et ne laissé rien ni personne,ni l'age,ni la fatigue,ni votre père ou mère encore moins vous-meme vous perssuader du contraire.avec une bonne dose de volonté,de perseverance et de patience vous arriverez à tout.
Écrit par Samuel guy

Ne lâche jamais !


Quand les choses vont mal,de temps en temps,
Et que la route va toujours en montant,
Quand les fonds sont bas et les besoins hauts,
Et que le sourire tente se fige tout beau,
Repose-toi,si tu veux,mais le lâche pas!

C'est une drôle de vie,avec ses tours et détours,
Chacun de nous,mon vieux,l'apprend a son tour.
Et plus d'un a failli en lâchant
Quand il eut suffit de tenir un autre moment.
Tire encore un peu,crampe le jarret,
peut-être l'emporteras-tu le coup d'après!

Le succès,c'est la faillite plus de la patience,
C'est le soleil qui nuages les plus noirs argenté;
Et nul ne serait dire combien on l'approche,
juste au moment ou tout accroche;
Reste donc dans la lutte,même si durement frappe
C'est quand ça va le plus mal qu'il ne faut pas lâcher.

AUTEUR INCONNU

Gagner


Gagner, c'est utiliser vos talents innés, que vous avez développés avec le temps, pour atteindre un objectif qui vous rendra heureux.

Gagner, c'est devenir cette personne de rêve qui vous remplirait d'une grande estime de vous-même.

Gagner, c'est donner et recevoir dans une atmosphère d'amour, de coopération, d'implication sociale et de responsabilité.

Gagner, c'est arriver quatrième, épuisé mais heureux parce que la dernière fois, vous êtes arrivé cinquième.

Gagner, c'est se donner librement au autres.

Gagner, n'est jamais geindre.

Gagner, c'est traiter les animaux comme des gens, et les gens comme des frères et des sœurs.

Gagner, c'est réussir une partie de solitaire sans tricher.

Gagner, c'est ramasser une canette vide que vous n'avez pas jetée sur la plage.

Gagner, c'est être heureux d'être soi.

Gagner (tout comme perdre), c'est prendre des habitudes.

Gagner, c'est un amour gratuit.

Gagner, c'est un mode de pensée,un mode de vie.

Gagner, c'est tout entier dans l'attitude!

Auteur: Denis Waitley